Emmanuelle Cado © - Tous droits reservés
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Les lignes me fascinent, leurs pensées les obnubilent
Abandonnés devant moi, au loin je l'aperçois
J'attends, ils passent, j'entends, rien ne se passe
Je retrouve une nature, cachée entre les murs
Elle a une place, rien ne s'efface, et pourtant, passe le temps
Je n'ose y croire, sombre espoir, où est ce que je suis, la nuit m'envahit
Son ombre s'efface, il n'en reste que des traces
Je le suis, un reflet, il me fuit, j'y étais
Une lumière, une posture, comme hier, sombre imposture
Penchée, elle a souffert, un gouffre s'y est ouvert
Irréel et intemporel, je ne comprends ce qu'il attend
J'ai cru qu'il jouait, cette courbe m'appelait
Perspectives du vide, me rendent elle lucide?
Enfermé, grillagé, tortillé, je n'ose y mettre les pieds
Découpé, haché, passé au fil du rasoir, va-t-il voir?
Elle descend, seule, un dernier rayon de lumière attire mon oeil.
Cette série a été réalisée entre janvier 2012 et mars 2013 dans l'agglomération toulousaine.
Installée depuis peu dans cette ville que je ne connais pas encore,
je pars à la découverte de ses décors construits et de ses anonymes qui l'empruntent et l'usent quotidiennement.